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jeudi 28 juin 2007

Citation

L'homme honorable commence par appliquer ce qu'il veut enseigner ; ensuite il enseigne.
Confucius

mercredi 27 juin 2007

Le rôle de la religion dans les relations


Le rôle de la religion dans les relations entre l'homme et la Nature

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Paroles de Sri Mata Amritanandamayi Devi (Amma), extrait du livre "L'homme et la Nature" (1995)

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"C'est la religion qui aide les humains à rester conscients de leur union avec la Nature. Sans la religion, l'humanité perd cette conscience. La religion nous enseigne à aimer la Nature. La religion aide à maintenir une relation juste entre les individus et la société, entre l'home et la Nature.

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La relation entre l'homme et la Nature est semblable à la relation entre Pindanda (le microcosme) et Bhramanda (le macrocosme). Nos ancêtres, dans leur sagesse, l'avaient compris. C'est la raison pour laquelle ils accordaient tant d'importance au culte de la Nature dans les pratiques religieuses. L'idée sous-tendant les pratiques religieuses était d'associer intimement les être humains avec la Nature. En établissant une relation d'amour entre l'homme et la Nature, ils assuraient à la fois l'équilibre de la Nature et le progrès de l'humanité.

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[...] Ils avaient prévu que l'homme, dans ses périodes égoïstes, oublieraient la Nature et cesserait de se sentir concerné par elle. Ils savaient aussi que les générations futures souffriraient du divorce entre l'homme et la Nature. En conséquence, ils lièrent chaque rite religieux à la Nature.
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Ainsi, grâce aux principes religieux, ils parvinrent à développer un lien de coeur entre l'homme et la Nature. Les anciens aimaient et vénéraient les arbres et les plantes, comme le banian, le bilva, le tulasi, non pas parce que ces arbres portaient des fruits leur permettant de faire du profit, mais parce que les anciens savaient qu'eux-mêmes étaient en vérité un avec la Nature."
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"L'être humain n'est pas différent de la Nature. Il en fait partie. L'existence même des êtres humains sur la terre dépend de la Nature. En fait, nous ne protégeons pas la Nature : c'est la Nature qui nous protège."
Amma.

Le manque d'amour dans les foyers...

Le manque d'amour dans les foyers

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Paroles de Mère Teresa

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"Je pense qu'aujourd'hui le monde est sans dessus dessous, et souffre autant parce qu'il y a un manque d'amour dans les foyers et dans la vie de famille. Nous manquons de temps pour les enfants, pour les autres et pour s'apprécier les uns les autres."

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"L'amour commence à la maison ; l'amour vit dans les foyers, c'est pourquoi il y a tant de souffrances et de morosité dans le monde d'aujourd'hui...Tous semblent si pressés, entre autre, anxieux de plus d'améliorations et de plus de richesse que les enfants n'ont que peu de temps pour leurs parents. Les parents ont peu de temps l'un pour l'autre, le bris de la paix dans le monde commence dans les foyers."

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"Quelquefois, nous croyons que la pauvreté n'est pas d'avoir faim, d'être dévêtu ou sans abri. La pauvreté la plus grande est celle d'être rejeté, pas aimé et sans soin. Nous devons commencer à remédier à ce type de pauvreté dans nos propres maisons."

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"La pauvreté la plus terrible est la solitude et le sentiment de ne pas être aimé.""De nos jours, la lèpre ou la tuberculose ne sont pas les plus graves maladies, mais plutôt le sentiment d'être rejeté.""Dans le monde, il y a plus de faim pour l'Amour et la reconnaissance que pour le pain."


Mère Teresa

La Nature est notre Terre Mère,


La Nature est notre Terre Mère


William Commanda est un chef indien D'Amérique qui vit actuellement au Canada. Il a plus de 80 ans. Chaque année, il répand ses paroles de sagesses auprès de son peuple et auprès des canadiens pour aider leur coeur à s'ouvrir afin qu'ils préservent la nature. Pour de nombreux indiens d'Amérique, William Commanda est considéré comme un sage.
****Retranscription d'une discussion en sa compagnie, décembre 2005, Canada.

« La nature est notre Terre Mère, et elle nous donne tout ce dont nous avons besoin. Mais l’Homme, dans sa cupidité et son ignorance, prend à la nature plus que ce dont il a besoin. Plutôt que de protéger celle qui le fait vivre, il abuse de tout ses dons. La nature, jusqu’à présent, est restée patiente.

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Mais les esprits qui protègent les éléments de la nature ne peuvent pas rester ainsi sans se défendre. Voilà pourquoi aujourd’hui, lorsqu’un orage éclate, ce n’est pas juste une pluie rafraîchissante qui tombe sur la terre, mais un torrent d’eau qui prend tout sur son passage. Quand le vent souffle, ce n’est plus un simple brin d’air, mais une véritable tornade qui arrache tout sur son passage (il fait probablement référence à l’ouragan Catherina qui a dévasté l’Amérique quelques semaines auparavant).

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Les esprits de la Nature sont maintenant fâchés, et tant que l’Homme ne fera pas ce qui est nécessaire pour rendre un peu à la nature ce qu’il lui a pris, en la protégeant et en priant pour devenir des êtres vivants plus responsables, alors les éléments se déchaîneront.

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Les indiens d’Amérique, dans leur traditions ancestrales, savaient qu’il ne fallait pas prendre plus à la nature que ce dont il avaient besoin. La chasse et la pêche étaient maîtrisées et raisonnables. Des prières et des chants étaient récités chaque jour pour remercier la Terre Mère et ses esprits pour tous leurs bienfaits et leur générosité.

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Mais aujourd’hui, l’Homme prend sans se soucier des conséquences de ses actes, ne réfléchissant qu’au bénéfice qu’il peut tirer de ce qu’il a prélevé. Il ne coupe pas un seul arbre pour se chauffer, mais 1000 arbres pour les revendre et faire du bénéfice. Lorsqu’il construit une usine, il ne se soucie pas de savoir si les déchets polluants de son industrie se retrouvent dans la rivière voisine, tuant les poissons et empoisonnant les indiens qui y pêchent. Il ne pense qu’a faire des économies pour gagner toujours plus.

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Les esprits de la rivière ne laisseront pas faire une telle chose encore très longtemps. La Terre Mère aujourd’hui doit se défendre.

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Puissions-nous retrouver la raison et faire ce qu’il faut pour calmer sa colère. Prions pour cela ».

Je parle au animaux...

Je parle aux animaux !

Paroles de Tippi, extraites du livre "Mon livre d'Afrique"


Tippi, 10 ans, est une petite fille française qui est née en Namibie lorsque ses parents, chasseurs d’images, y vivent pour leur métier. Elle vit aujourd’hui en France. Elle possède le don particulier de « parler » aux animaux et de savoir les approcher, les toucher et les caresser sans aucune crainte.



« Ça intrigue tout le monde, que je parle aux animaux. Sauf eux ! (…) Moi, mon don, c’est les animaux. Mais pas n’importe lesquels : les animaux sauvages d’Afrique. Je leur parle avec ma tête, ou par mes yeux, par mon cœur ou par mon âme, et je vois qu’ils me comprennent et qu’ils me répondent. Ils font des mouvements, ou bien ils me regardent et on dirait que des lettres s’affichent dans leurs yeux. Et là – je sais que ça peut sembler bizarre -, je suis sûre que je peux leur parler. C’est de cette manière que je fais connaissance avec eux, et parfois même, on fait une amitié. »
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« Les animaux ne sont jamais méchants, mais ils sont parfois agressifs. J’ai laissé tombé d’expliquer au monde entier qu’il ne faut pas dire « animal méchant » mais « animal agressif ». Ça ne sert à rien d’expliquer, personne ne veut comprendre […] Les animaux sont agressifs lorsqu’ils veulent se protéger, défendre leurs petits ou leur territoire. Et aussi lorsqu’ils sont blessés, ou de mauvaise humeur. Ou bien tout simplement parce qu’il sont nés comme ça. En tout cas, ils ont toujours une raison. C’est pas comme les humains : souvent, les hommes ne savent même pas pourquoi ils sont méchants. »
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« Moi, je n’ai jamais été mordue par un serpent. Mais par un meerkat (espèce de marsupial), oui. (…) Ce n’était pas de sa faute ! Il était très stressé. Quand je me suis approchée pour le prendre dans mes bras, il s’est senti agressé et il m’a mordu le nez pour se défendre. Je ne peux pas lui en vouloir. »

« Souvent, ce sont les animaux qui ont peur des humains. C’est pour ça qu’ils grognent, ou qu’ils prennent l’air méchant : pour t’impressionner et te donner envie de les laisser tranquilles. Et quand ils ont trop peur, ils font pipi sur toi. Mais sans faire exprès. »
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« L’amour des animaux, c’est quelque chose où on ne se dispute. Ou bien si on se dispute, c’est vraiment pas des disputes comme avec les humains. Je ne sais pas pourquoi c’est si différent. Mais je crois que c’est parce que les animaux, eux, ils se débrouillent avec ce qu’ils ont, alors que les humains, ils veulent toujours autre chose. »