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lundi 30 janvier 2012


Lsourire

Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup,
Il enrichit ceux qui le reçoivent
Sans appauvrir ceux qui le donnent.
Il ne dure qu'un instant
Mais son souvenir est parfois éternel.
 
Personne n'est assez riche pour s'en passer,
Personne n'est assez pauvre pour qu'il soit inutile,
Personne n'est assez méprisable pour ne pas le mériter.
 
Il crée le bonheur au foyer, soutient en affaires et au travail,
Il est le signe sensible de l'amitié.
 
Un sourire donne du repos à l'être fatigué,
Rend courage aux plus découragés.
 
Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler
Car il n'a de valeur qu'à partir du moment où il se donne.
 
Et si quelquefois vous rencontrez une personne
Qui ne sait plus avoir le sourire,
Soyez généreux, donnez-lui le vôtre,
Car nul n'a autant besoin d'un sourire
Que celui qui ne peut en donner aux autres...

Toulbonheudmonde

[...] On vous souhaite tout le bonheur du monde 
Pour aujourd'hui comme pour demain 
Que votre soleil éclaircisse l'ombre 
Qu'il brille d'amour au quotidien. [...] 

Toute une vie s'offre devant vous 
Tant de rêves à vivre jusqu'au bout 
Sûrement plein de joie au rendez-vous 
Libre de faire vos propres choix 
De choisir qu'elle sera votre voie 
Et où celle-ci vous emmènera 
J'espère juste que vous prendrez le temps 
De profiter de chaque instant. [...]

Groupe Sinsemilia

Vie

J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables, j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables. J'ai agi par impulsion, j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables, mais j'ai déçu des gens aussi. J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger. J'ai ri quand il ne fallait pas. Je me suis fait des amis éternels. J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai aussi été repoussé. J'ai été aimé et je n'ai pas su aimer. J'ai crié et sauté de tant de joies, j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le coeur, tant de fois ! J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos. J'ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d'un sourire. J'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et j'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre)... Mais j'ai survécu ! Et je vis encore ! 

Et la vie, je ne m'en passe pas... 
Et toi non plus tu ne devrais pas t'en passer. Vis !!! 
Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant, parce que le monde appartient à celui qui ose et que LA VIE C'EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante !

Charlie Chaplin



Le jour où je me suis aimé pour vrai ...


(Il parait que Charlie Chaplin le citait régulièrement,
mais certains l'attribuent à Kim Mc Millen)

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle 
estime de soi.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle authenticité.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle maturité.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle 
respect. 


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle amour propre.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grand plans, j’ai abandonné les méga – projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plaît et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Simplicité.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd’hui, j’ai découvert l’Humilité.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle Plénitude.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir, mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient un allié très précieux.
Tout ceci est.... Savoir vivre



dimanche 22 janvier 2012


"Il faut lutter pour ses rêves, mais il faut savoir également que quand certains chemins se révèlent impossibles, mieux vaut garder son énergie pour parcourir d'autres routes."

- Paulo Coelho -


"Ce n'est pas l'espèce la plus puissante qui survit, mais celle qui s'adapte le mieux au changement."

Charles Darwin




vendredi 20 janvier 2012

Partage d'un conte Rwandais, envoyé par un fidèle visiteur de mon blog. Merci Lionel...




Conte du Rwanda : L’hyène et la gazelle


Un jour, dans la savane, l’hyène réussit à surprendre la gazelle, toute occupée à allaiter son petit. 
S’apprêtant à dévorer mère et enfant, l’hyène est interloquée par le manège incessant des mâchoires du
ruminant.


­‐ Que manges­‐tu ainsi ? demande le prédateur.
‐ Des graines de mystère, répond calmement la gazelle.
‐ Où en trouve ­t'­on ?
­‐ Si tu en veux, mon bébé peut courir en chercher. 


Se tournant vers son faon, la gazelle dit alors :



«Va chercher de la graine de mystère mon petit avec de la potion de non-­retour ».

Pas bête pour un sou, le faon comprit et détala vers la liberté. 
Au bout d’un long moment d’attente, l’hyène finit par manger la mère, mais le petit fut sauvé. 



Morale de l’histoire : l’amour, ça rend brave et intelligent.

mercredi 18 janvier 2012


Shakespeare a dit :
Je me sens toujours heureux, vous savez pourquoi?
Parce que je n’attends rien de personne… Les attentes font toujours mal, la vie est courte…
Aimez votre vie, soyez heureux, gardez le sourire et souvenez vous :
Avant de parler, écoutez
Avant d’écrire, réfléchissez
Avant de prier, pardonnez
Avant de blesser, considérez l’autre
Avant de détester, aimez
Et avant de mourir, Vivez !

mardi 17 janvier 2012


Le langage des couleurs

Les couleurs ont un langage profond et puissant auquel nous sommes sensibles.

Le rouge : c’est la couleur de l’énergie, de la passion, de la force, de la motivation et du dynamisme. Il nous nous stimule et nous incite à agir. Il symbolise l’esprit des pionniers, des révolutionnaires, des extravertis. Il fait monter la tension, accélère les pulsations cardiaques, élève la température du corps et met l’attention en alerte.


L’orange et le jaune : ce sont des couleurs qui élèvent l’esprit, stimulent l’énergie et apportent de la gaieté. L’orange est associé à la joie, à la créativité, à l’exaltation et au mouvement. Le jaune est associé à la volonté, l’intellect et les sentiments d’indifférence. Ce sont des couleurs chaudes et optimistes qui ont la faculté de nous réjouir le cœur et de nous remonter le moral.


Le vert : il est associé à l’équilibre et à l’harmonie. Il représente l’équilibre, il est neutre - ni chaud, ni froid. C’est la couleur de la nature, de la bonté, de la compassion de l’affection et du partage. Vert signifie honnêteté, stabilité et digne de confiance. Le vert réconforte et allège le stress.


Le bleu : c’est la couleur du calme. Rafraîchissant, apaisant, réconfortant, le bleu aide à adopter un rythme plus détendu et à se décontracter. Il ralentit le rythme cardiaque et fait baisser la tension. En agissant sur nos muscles et notre esprit, il nous permet de respirer plus profondément. C’est la couleur de la communication, de l’imagination et de la force intérieure. Il apporte le calme, la paix et la sérénité.


Le violet : il est associé à la méditation, il porte à la contemplation et à l’introspection. Il est lié à l’intuition, à la clairvoyance et à l’ouverture d’esprit. Il favorise la perspicacité et la perception. C’est la couleur de la dignité et du respect de soi. La vibration à la fois forte et raffinée du violet en fait une couleur douce, apaisante et élève l’esprit.


Le rose : c’est la plus féminine des couleurs. Elle incite à la douceur et la tendresse et exprime l’amour et le bonheur. Ses nuances chaudes et caressantes sont pleines de bienveillance et d’affection. Il entretient l’amour et l’amour de soi, il représente la tendresse, la protection et la compassion.


Le marron : La vibration de cette couleur nous aide à redescendre sur terre et nous y sentir bien enracinés. La terre alimente constamment notre énergie. Il nous permet de nous sentir plus forts et plus équilibrés.








Source : http://www.espacefengshui.com

"Rien n'est plus doux,
Rien ne donne à la peau une sensation plus délicate,
plus raffinée, plus rare
Que la robe tiède et vibrante d'un chat"

Maupassant



Je ne connais rien de comparable au silence pensif des chats.
Il emplit l'atmosphère d'une qualité très particulière.
Pour peu que l'on veuille bien s'arrêter un moment pour être à l'unisson avec lui, ce silence devient contagieux.
On le voit, lui, le chat, éveillé et ailleurs, son beau regard fixé devant lui.
On s'assoit là, la main posée sur son dos."

A. Duperey

samedi 14 janvier 2012


« On ne s’aperçoit pas toujours que l’on parcourt chaque jour un nouveau chemin. »
Paulo Coelho

vendredi 13 janvier 2012

mercredi 11 janvier 2012



Un jour, un homme se mit à calomnier le sage du village. Plus tard, il prit conscience de son erreur et se rendit auprès du sage pour lui demander pardon, affirmant être prêt à tout faire pour s’amender.

Le sage n’exigea de sa part qu’une chose :

qu’il prenne un oreiller, le déchire et en disperse les plumes au vent.

Bien que déconcerté, l’homme s’exécuta puis revint auprès du sage.

«Suis-je pardonné à présent ? lui demanda-t-il.


— Dabord, va ramasser toutes les plumes, lui répondit le sage.


— Mais c’est impossible ! Le vent les a toutes dispersées !


— Eh bien, il est aussi difficile de réparer les torts que tu as causés par tes paroles que de récupérer les plumes»

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Que retenir de cette histoire ?

Une fois lâchés, les mots ne peuvent être rattrapés, et il est parfois impossible de réparer le mal qu’ils ont causé.

Si nous nous apprêtons à colporter quelque commérage, rappelons-nous que nous sommes sur le point de disperser des plumes au vent…..


mardi 10 janvier 2012

Le miel


LE MIEL


Le miel est le produit sucré élaboré par les abeilles à partir de deux substances qu'elles récoltent dans la nature : le nectar de fleurs et le miellat. 
Le nectar de fleur que tout le monde connaît est une substance sucrée sécrétée par la fleur au fond de la corolle.
Le Miellat est une substance plus complexe. Elle fait intervenir un intermédiaire entre la plante et l'abeille: un petit puceron qui se nourrit de la sève de l'arbre et rejette une déjection sucrée.
Les miellats sont à l'origine des miels de foret, de sapin qui sont d'ailleurs toujours de couleur assez foncée et peuvent rester liquide très longtemps.
Le miel est composé principalement de sucre simple: glucose et fructose pour une grande proportion environ 80% et d'eau 18% on y trouve également une grande variété de sels minéraux et enfin quelques vitamines à l'état de traces ainsi que des enzymes.
C'est un produit au goût et à l'apparence variés en fonction de son origine florale.

Miel liquide ou miel solide ?
A la récolte le miel est toujours liquide, après extraction il cristallise plus ou moins vite en fonction de différents facteurs :l'origine florale, la température de stockage ,la teneur en eau Il y a des miels qui cristallisent très vite comme le colza, le tournesol. d autres peuvent rester liquide très longtemps comme le miel d'acacia, de sapin, de foret
 Plus un miel cristallise vite plus son grain sera fin.

La structure cristalline :  
peut être plus ou moins souple: il existe un procédé mécanique pour faire du miel crémeux (un brassage lent avec une vis sans fin casse définitivement la structure cristalline sans altérer le miel)
Les inconditionnels du miel liquide peuvent refondre le miel sans trop l'altérer à une température ne dépassant pas 40°
Lors de la cristallisation et sous l'action conjuguée du froid il y a rétraction de la masse du miel et des micros bulles d'air peuvent se former entre le verre et le miel.
Quant aux propriétés thérapeutiques des miels nous préférons dire que nos compétences s'arrêtent à la production de miels de crus.
Le miel est simplement un aliment naturel qui rentre dans la composition d'une alimentation saine et équilibrée qui renforce nos défenses naturelles

Composition du miel 
Le miel est essentiellement composé de sucres (78 % à 80 %) qui se répartit grossièrement en fructose (ou lévulose) pour 38 %, glucose (ou dextrose) pour 31 % et pour 31 % restant nous trouveront du maltose, du saccharose et une grande variétés de polysaccharides. Le miel contient également environ 17 % d'eau.

On retrouvera dans le miel une concentration exceptionnelle d'acides aminés : 
- aspartique- glutamique- alanine- arginine, 

- asparagine- cystine, 
- glycine- histidine
- isoleucine- leucine- lysine, 

- phénylalanine- proline- sérine- tryptophane- tyrosine
- valine

Des minéraux jusqu'à 1 % 

- argent- baryum- béryllium- brome- calcium- chrome- cobalt- cuivre- fer- lithium
- magnésium- manganèse- molybdène- or- palladium- phosphore- potassium- rubidium
- scandium- silicium- sodium- soufre- strontium- titane- vanadium- zinc- zirconium.


Si tous ces éléments ne sont pas présents ensemble dans tous les miels certains comme le potassium, le magnésium et le zinc sont systématiquement là.

Des vitamines en quantité qui sans couvrir nos besoins journaliers présentent l'avantage d'être hautement assimilables :
- Vitamine A - Vitamine B1 - Vitamine B2- Vitamine B3- Vitamine B5- Vitamine B6
- Vitamine B8- Vitamine B9- Vitamine C- Vitamine D- Vitamine K


Des acides gras en faibles quantités : palmique, oléique et linoléique


Des enzymes dont amylases a et amylases b, gluco-invertase et gluco-oxydase
Et de nombreuses autres substances biologiques et aromatiques dont des flavonoïdes, des alcools, des esters, des pigments et des grains de pollens.

Propriétés diététiques
 Le miel est un aliment naturel riche en sucres simples directement assimilables. Il est doté d'un pouvoir sucrant plus important que celui du sucre, avec un apport calorifique beaucoup moins important. 100 g de miel apportent en moyenne 300 calories, alors que 100 g de sucre en apportent  400 il y a donc intérêt à remplacer le sucre par du miel. !!!!

Concentré dans un faible volume sa richesse en fructose et glucose est à l'origine de son importante action dynamogénique et stimulante du cœur, C' est l'aliment de l'effort par excellence pour les sportifs et les convalescents
 De par sa richesse en éléments naturels : minéraux et vitamines, le miel augmente les capacités de notre système de  défense immunitaire , renforçant ainsi la résistance de notre organisme dans sa lutte contre les maladies.
 
Par ailleurs, le miel favorise aussi l'assimilation du calcium et la rétention du magnésium par l'organisme, deux  minéraux essentiels au bon fonctionnement de notre métabolisme, les enfants qui  bénéficient de miel dans leur alimentation quotidienne se développent beaucoup mieux que ceux qui ont  seulement du sucre blanc, avec notamment une meilleure et plus rapide calcification osseuse et dentaire.
 
Grâce à ses nombreux enzymes, le miel facilite également la digestion et le transit intestinal.

Propriétés et vertus thérapeutiques reconnues

Antianémique : combat l'anémie
Antiseptique : détruit les microbes
Apéritif : stimule l'appétit
Béchique : calme la toux
Digestif : aide à la digestion
Diurétique : augmente la sécrétion urinaire
Dynamogénique : augmente la force et l'énergie
Emolient : détent les tissus
Fébrifuge : combat la fièvre
Laxatif : facilite le transit intestinal
Sédatif : calme
Vicariante : supplée aux déficiences




Acacia: très doux, régulateur intestinal,
Bruyère: voies urinaires, articulations,

Châtaignier: circulation sanguine, fatigue,
Eucalyptus: voies aériennes,

Lavande: maux de tête, et aussi brûlures, blessures et piqûres légères,
Oranger: sommeil,
Romarin: foie, stimulant, anti-fatigue,

Sapin: voies respiratoires,
Tilleul: calmant (idéal avec une infusion),
Tournesol: circulation sanguine.





(Loria mille bonheurs, aujourd'hui année... )

lundi 9 janvier 2012


Ouvrir les yeux du dragon


Avant une danse du dragon, la tradition veut qu'on ouvre les yeux du dragonen peignant de rouge les prunelles de ce monstre bienveillant tandis que le bruit assourdissant des pétards le tirait de son sommeil hivernal.

La légende veut que l'empereur Han Wudi 汉武帝 (hàn wǔdì), de la dynastie des Liang 梁朝 (Liáng cháo) ait fait décorer le temple bouddhiste du Bien-être 安乐 (ān lè) à Nankin 金陵 (jīn líng) par le peintre Zhang Sengyou 张僧繇 (Zhāng Sēngyóu).

Les fidèles se rendaient nombreux au temple pour admirer le travail de l'artiste en y faisant leurs dévotions. Un détail, cependant, les intriguait : aucun des quatre dragons ornant les murs du monastère n'avait d'yeux ! A ceux qui lui demandaient d'achever son oeuvre, Zhāng Sēngyóu répondait que les dragons se laissaient facilement représenter (dans la mesure où personne n'en a jamais vu, qui aurait, en effet, osé critiquer le peintre ?) mais qu'ils risquaient de s'envoler dès qu'ils auraient des yeux !

Devant l'incrédulité de ses admirateurs, de plus en plus pressants, le peintre se décida à peindre les yeux des dragons. A peine avait-il dessiné les prunelles du deuxième dragon que le ciel, brutalement devenu noir, fut ébranlé par le tonnerre et déchiré par les éclairs. Et, tandis que des trombes d'eau se déversaient soudainement sur le temple, les deux dragons dont il avait réveillé les yeux, s'envolaient au firmament. Quand le soleil revint, les fidèles, interloqués, constatèrent que les deux dragons avaient réellement disparu de la fresque.
C'est ainsi que naquit le chéngyǔ 成语 (proverbe chinois) "huà lóng diǎn jīng" 画龙点睛 , littéralement "faire la tache des yeux du dragon peint", soit "peindre les yeux du dragon". L'expression est utilisée pour dire que c'est la dernière touche qui donne vie à une oeuvre.

Mais la légende montre aussi que le dragon, animal maléfique dans le légendaire occidental, est fondamentalement bénéfique dans l'imaginaire chinois. Emergeant des profondeurs de la mer, le dragon s'envole vers le ciel où il féconde les nuages qui déversent leur pluie fertilisante sur la terre chauffée par le soleil du printemps.
Le dragon, génie de la pluie, est aussi le maître des métamorphoses : né des abymes de la mer, il traverse les niveaux cosmiques, parcourt le ciel avant de s'engouffrer dans les profondeurs de la terre d'où sortiront les récoltes abondantes qu'il a fécondées de son "yang". C'est pourquoi le dragon est aussi l'intermédiaire entre les vivants et les morts (la figure du dragon orne traditionnellement les catafalques) et le véhicule des voyages chamaniques. L'empereur, tout à la fois monarque et chamane, est naturellement "le fils du dragon" dont il porte l'emblème brodé sur sa tunique.

Tout ceci se retrouve dans la danse du dragon qui accompagne les cérémonies de 春节 Chun jié.

D'après Burkhardt, les yeux du dragon auraient été originellement peints avec le sang d'une crête de coq, le sacrifice du coq étant censé éloigner les mauvais esprits. La danse des lions, qui accompagne le cortège, était à l'origine une danse d'exorcisme des démons célébrée à l'automne, après les moissons. Il est possible que des dresseurs d'animaux sauvages aient réellement participé à ce rituel.




Source : chine-informations.com


L'origine du thé est liée à la légende d'un moine indien nommé Bodhidharma.  



Bodhidharma était un prince indien qui, au VIième siècle, vers l'an 520, partit en Chine prêcher le bouddhisme et fonder la secte Ch'an.  Cette dernière se développera au Japon, près du 6 siècles après, sous le nom de zen.

Bodhidharma (dont voici d'ailleurs le portait ci-dessus), barbe hirsute, les yeux immenses et globuleux, le regard pénétrant sous d'épais sourcils, la mine patibulaire, tel est le portrait brossé de ce personnage dérangeant qui, dès son arrivée à Canton, se révéla d'une brutale franchise.

Bodhidharma avait fait le voeu de ne jamais dormir afin de ne pas voler un seul instant à sa mission.  Malgré tout, un jour, épuisé il tomba de fatigue sur le bord d'un chemin.  Et, pire encore, il rêva de femmes.  À son réveil, ivre de colère, il s'arracha les paupières et les jeta.

Quelques années après, en repassant au même endroit il vit que là où il avait jeté ses paupières deux arbustes avaient poussé.  Des arbustes dont les feuilles ont le pouvoir de maintenir l'esprit en éveil.

On raconte qu'à la fin de sa vie Bodhidharma resta assis en méditation, au fond d'une grotte, face à un rocher, pendant 9 ans.  Au bout de quelques années, assez lassé, il eut le geste curieux d'arracher des feuilles de l'arbuste qui poussait à proximité et de les mâcher.  Il découvrit alors que ces feuilles permettaient à l'esprit de rester dans un état de concentration, chassant l'ennui.  Il put ainsi poursuivre, sans bouger, sa méditation pendant 9 années.

On dit qu'au terme de ces 9 années, Bodhidharma réussit à atteindre une concentration si forte, qu'il parvenait à ressentir le monde autour de lui.  Il comprenait et faisait communion avec l'Univers. On raconte aussi que son image finit par se graver sur le rocher, qu'il perça un trou à travers une paroi de la caverne à force de la fixer et qu'il perdit l'usage de ses jambes.

Bodhidharma, pratiquant zazen durant 9 ans devant un mur, rejetait tous les visiteurs.  On dit qu'il n'aurait consenti à se retourner et à prendre un disciple que lorsque Hui k'o se serait coupé un bras pour attirer son attention.  On prête aussi àBodhidharma la création des arts martiaux ainsi que la fondation du temple de Shaolin sur le mont Song Shan.

En fait, qu'en est-il de Bodhidharma et du ch'a, cette plante dont les feuilles ressemblent à des paupières et qui donne aux méditants le moyen de rester éveillés ?

Et bien, en réalité, on buvait du thé plusieurs siècles avant l'époque de Bodhidharma.


Source : http://www.chine-informations.com

LE THE


Thé


Le théier.
Le thé est une boisson stimulante, obtenue par infusion des feuilles du théier, préalablement séchées et le plus souvent oxydées.
D'origine chinoise, où il est connu depuis l'Antiquité. Il a été importé de Chine au XVIIe siècle par les commerçants hollandais et introduit enFrance comme plante digestive par les Jésuites. Le thé est aujourd'hui la boisson la plus bue au monde après l'eau. La boisson elle-même peut prendre des formes très diverses : additionnée de lait et de sucre au Royaume-Uni, longuement bouillie avec des épices en Mongolie, bouillie avec des épices et du lait comme en Inde, préparée dans de minuscules théières dans la technique chinoise du gōngfū chá, ou battue comme au Japon en chanoyu.
Improprement, le mot peut désigner parfois une infusion préparée à partir d'autres plantes (par ex. thé de tilleul) bien que l'on doive parler en fait de tisane. La confusion est en revanche systématique dans certaines langues, notamment celles où le thé ne fait pas partie d'une culture ancienne (Allemands ou Italiens parlent ainsi de « Tee » et de « Tè » quelle que soit la plante utilisée) et où le café prédomine largement le secteur des boissons chaudes.


Procédés de fabrication


Etape de fabrication

Feuilles de théier
Les différentes sortes de thés (noirs, verts, oolong, etc.) ne proviennent pas de différentes espèces de théier, comme on l'a longtemps cru en Occident, mais sont obtenues en traitant différemment les feuilles récoltées. Si les opérations élémentaires sont simples à décrire, les méthodes exactes sont des secrets industriels jalousement gardés.
En plus des opérations décrites ci-dessous, les feuilles de thé sont parfois façonnées à la main en boules, en fleurs, en dragons, etc.


Thé vert

Le thé vert est un thé dont les feuilles, après la cueillette, seront le plus souvent flétries et chauffées à haute température, afin de neutraliser lesenzymes responsables de l'oxydation. Elles seront ensuite roulées et séchées plusieurs fois afin d'obtenir une forme particulière. On peut distinguer deux méthodes principales pour obtenir du thé vert. La méthode chinoise, d'une part, par laquelle les feuilles sont chauffées dans de grandes bassines de cuivre placées sur le feu ; la méthode japonaise, d'autre part, par laquelle les feuilles seront chauffées à la vapeur, très brièvement, en moins d'une minute, avant d'être roulées et séchées.


Thé jaune

Thés d'origine chinoise, les plus fins et souvent les plus rares des thés. Très délicats, ils subissent une légère fermentation à l'étouffée et leurs feuilles ne sont pas travaillées. Seuls les bourgeons duveteux sont utilisés.


Thé blanc

Thés d'origine chinoise, à l'instar des thés jaunes, ce sont des thés très délicats qui, eux, subissent une très légère oxydation, seulement en surface. Les trois premières feuilles, dont le bourgeon, peuvent être présentes, toujours entières. Elles sont simplement flétries, puis séchées.


Thé semi-oxydé

Thés d'origine chinoise ou taïwanaise (formosane), couramment appelés Oolong ou Wulong. Ils sont également désignés en Chine grâce à leur couleur : qïng chà « thé bleu-vert ». La famille des Wulong regroupe des thés semi-oxydés que l'on peut situer entre les thés verts et les thés noirs. Selon son degré d'oxydation, un Wulong peut être plus près des thés verts ou des thés noirs. Voilà pourquoi on fait une distinction entre les Wulongs verts (qui subissent une oxydation de 10 à 30%) et les Wulong noirs (qui peuvent être oxydés jusqu'à 70%). Les Wulong sont produits principalement en Chine et en Taïwan, mais quelques-uns sont également produits dans la région de Darjeeling en Inde. Le processus de transformation des Wulongs verts Taïwanais fait que ceux-ci sont roulés en petites boules, alors que ce n'est pas le cas pour les wulongs verts et noir de Chine (exception faite du Wulong de Chine Tie Guan Yin).


Thé rouge

Les Chinois nomment thés rouges ce que les Occidentaux appellent thés noirs. La couleur rouge correspond en fait à celle de l'infusion et non à celle des feuilles.
D'autre part, le thé rouge vendu en Europe est généralement la dénomination donnée improprement à une plante, proche des acacias et différente du théier, poussant en Afrique du Sud, lerooibos (Aspalathus linearis), qui ne contient pas de caféine et peu de tanin. Une famille de plantes proche fournit par ailleurs le honeybush.


Thé post-fermenté

Les thés post-fermentés sont appelés en Chine thé noir, en raison de la couleur très sombre de leur infusion. Peu connus en Occident, ils y sont parfois désignés par le terme de thé sombre ou thé noir-noir. Le plus célèbre d'entre eux est le thé Pu-erh, originaire du Yunnan. Les thés post-fermentés sont des thés qui ont connu une oxydation non enzymatique différente de celle des thés noirs. Deux procédés coexistent pour les produire. Traditionnellement, les thés post-fermentés sont obtenus à partir de feuilles de thé que l'on torréfie pour stopper toute oxydation enzymatique, puis que l'on compresse et enfin conserve pendant une longue période pendant laquelle a lieu un processus complexe d'oxydation non enzymatique et de fermentation longue (en années). Ce type de thé est désigné en Chine comme « cru » et est millésimé. À partir du milieu des années 1970 a été inventé un procédé permettant d'obtenir rapidement un thé imitant la longue post-fermentation du thé cru. Après la torréfaction, le thé est maintenu dans une atmosphère très humide, proche du compostage, qui permet une post-fermentation accélérée. Le thé est ensuite souvent compressé. Ce type de thé post-fermenté est désigné en Chine comme « cuit ».
Les thés post-fermentés ont la particularité de se bonifier avec le temps : leur âge est ainsi élément essentiel de leur prix. Ils ont un goût très particulier : terreux, évoquant le cuir, les feuilles humides ou les champignons. L'infusion est particulièrement âcre chez les thés jeunes (surtout pour les « cuits ») ; elle s'adoucit et s'enrichit en vieillissant.


Le thé noir en Occident

Les thés noirs communément commercialisés en Occident sont issus d'un processus de fabrication mis au point par les Britanniques, en Inde, au milieu du xixe siècle. Les Britanniques se sont inspirés des méthodes chinoises, qu'ils ont largement rationalisées et simplifiées, introduisant notamment l'usage de machines (broyeuses, séchoirs, tamis, etc.), là où les Chinois continuent à préparer les thés à la main.

Le procédé orthodoxe
  • Le flétrissage (18 à 32 heures) : permet de retirer une partie de l'humidité présente dans les feuilles fraîches.
  • Le roulage (30 minutes) : les feuilles sont roulées, cela a pour effet de briser les cellules de la feuille qui libéreront des enzymes permettant une meilleure fermentation.
  • L'oxydation (1 à 3 heures) : les feuilles sont mises à reposer dans une pièce chaude et humide.
  • La dessiccation (20 minutes) : pour arrêter la fermentation, on soumet les feuilles à une température de 90 °C.
  • Le tamisage : il s'agit de trier les feuilles et de les emballer.

Le procédé CTC
après avoir été légèrement flétries et coupées, les feuilles sont totalement déchiquetées par des cylindres équipés de lames métalliques. Elles sont ensuite roulées dans un ghoogi(tonneau tournant sur lui-même).
Il existe des variantes à ces méthodes, la famille des thés noirs étant la plus grande et la plus répandue de par le monde.
La plupart du temps, le vendeur mélange des feuilles déchiquetées provenant de diverses plantations pour obtenir un thé à la saveur précise correspondant au produit qu'il commercialise.


Les thés parfumés ou aromatisés

Une fois les feuilles de thé préparées, des additifs peuvent être utilisés pour parfumer le thé avant son infusion. Cela peut être des fleurs (jasminrose), des essences (bergamotecitron) ou bien encore des épices (gingembrecardamomecannellepoivre noirclou de giroflemuscade). Les thés parfumés ou aromatisés peuvent être produits à partir de n'importe quel type de thé : vert, blanc, noir ou même post-fermenté. En Occident, le plus souvent, ces arômes sont ajoutés à un thé noir.
Quelques thés parfumés célèbres :
  • Thé au jasmin : thé vert auquel sont ajoutées lors de l'oxydation des fleurs de jasmin. Il en reste un peu comme décoration.
  • Thé à la menthe : thé vert (en général du Gunpowder) auquel sont ajoutées lors de l'infusion des feuilles de menthe fraîche et du sucre.
  • Earl Grey : thé noir parfumé à l'essence de bergamote.


Quelques thés célèbres


Plantation de thé, Sri Lanka
  • DarjeelingAssam et Nilgiri : thés noirs originaires des régions du même nom en Inde où la culture du thé fut importée par les Britanniques au xixe siècle.
  • Ceylan : thé noir originaire du Sri Lanka, pays dont l'ancien nom est Ceylan.
  • Gunpowder : thé vert d'origine chinoise. Ce thé est fabriqué de telle manière qu'il forme de petites boulettes très dures. Cette forme et sa couleur vert très foncé lui ont valu cette appellation qui signifie en anglais « poudre à canon ». Ce thé, de faible qualité, est célèbre car c'est celui qui est utilisé pour la préparation du thé à la menthe dans les pays du Maghreb.
  • Gyokuro Asahi - thé vert. Considéré comme l'un des plus grands thés, le Gyokuro Asahi ou « Perle de Rosée »
  • Lapsang Souchong : thé chinois de la province du Fujian. C'est un thé noir dont les feuilles sont placées dans la fumée d'un feu d'épicéaou de cyprès, ce qui lui donne un goût fumé plus ou moins marqué.


Remplacements

Certaines boissons portent faussement le nom de thé, sans qu'elles aient à voir avec la plante théier. Citons, entre autres :

  • le maté (ou yerba maté) est une variété de houx (Ilex paraguensis) qui pousse surtout en Argentine, en Uruguay et au Brésil ;
  • le thé rouge d'Afrique du Sud, qui provient en fait du rooibos (buisson rougeâtre). Il ne contient pas du tout de caféine;
  • le honeybush désigne une famille de plante sud-africaines proches du rooiboos, également utilisées en infusion.
  • le lapacho (nommé aussi taheebo) qui est la doublure interne de l'écorce d'un arbre qui croît dans la jungle brésilienne ;
  • le thé Hoasca à base de plantes d'Amazonie, qui contient des alcaloïdes ;
  • deux boissons japonaises : le mugicha, à base d'orge, et le sobacha, à base de sarrasin ;
  • le thé herbacé (herbal tea) qui ne fait référence à aucune plante, ni même à une fleur spécifique; ce terme est utilisé pour désigner une infusion de plantes différentes du thé, désignée en français par le mot tisane ;
  • le thé des mormons est en réalité une infusion d'Ephedra sinica, dont les effets stimulants sont dus à la présence de pseudoéphédrine, un alcaloïde proche de l'adrénaline ;
  • le kombucha japonais n'est pas un thé à base de feuilles du théier, mais à base d'algues. Comme le matcha, il se présente sous forme de poudre à diluer dans l'eau chaude ;
  • le shiitakecha japonais n'est pas un thé à base de feuilles du théier, mais à base de poudre de champignons. Comme le matcha, il se présente sous forme de poudre à diluer dans l'eau chaude;
  • le thé d'Aubrac, trouvé dans les régions montagneuses de France (Lozère, Aveyron) et qui est en fait une infusion de Calament (Calamintha grandiflora);
  • le Long Island iced tea est un cocktail alcoolisé ne comprenant pas, dans sa recette classique, de thé.

Grades du thé

Les différents grades du thé indiquent la finesse de la cueillette et la taille de la feuille.
Pour les thés noirs d'Inde et ceux issus des pays ayant subi l'influence anglaise, les grades de qualité des thés noirs sont désignés par des sigles. Globalement, plus il y a de lettres, plus cela désigne un thé de qualité. Cette classification se retrouve ainsi pour les thés en provenance du Sri Lanka (Ceylan), du Népal, du Bangladesh, de Turquie, de Géorgie, d'Iran, et d'autres pays d'Afrique et d'Amérique du sud. Finalement, seuls les thés chinois et japonais ne répondent pas à cette classification. Le bourgeon terminal est dénommé tip ou Pekoe, dérivant d'un mot chinois signifiant « duvet ». Lors du roulage, le suc des feuilles va imprégner les tips, lui conférant une couleur dorée ou argentée, d'où les termes Golden et Silver. Le terme Orange signifie « royal », par allusion à la famille royale des Pays-Bas, les Orange-Nassau.


Thés noirs

Feuilles entières

On trouve par ordre croissant de qualité :
  • Souchong : très grandes feuilles, basses sur le théier (4-5e), larges et âgées, utilisées pour préparer les thés fumés chinois ;
  • Pekoe : feuilles plus fines, sans bourgeons, d'aspect grossier ;
  • FP (Flowery Pekoe) : feuilles roulées en boule.
  • OP (Orange Pekoe) : jeunes feuilles (cueillette fine tardive) ;
  • FOP (Flowery Orange pekoe) : bourgeon et deux dernières feuilles (cueillette « impériale »). Les bourgeons dorent avec la fermentation, et sont parfois appelés golden tips (« pointes d'or »).
La classification de cette dernière catégorie est plus fine en Inde du Nord, et rend compte de la quantité relative en bourgeons, et de leur qualité. On trouve par ordre croissant de qualité :
  • GFOP (Golden Flowery Orange Pekoe) : thé riche en bourgeons dorés ;
  • TGFOP (Tippy Golden Flowery Orange Pekoe) : contient uniquement des bourgeons ;
  • TGFOP 1 (Tippy Golden Flowery Orange Pekoe One) : thé TGFOP de grande qualité  ;
  • FTGFOP (Finest Tippy Golden Flowery Orange Pekoe) : thé TGFOP de très grande qualité ;
  • FTGFOP1 (Finest Tippy Golden Flowery Orange Pekoe One) : idem, en mieux ;
  • SFTGFOP (Special Finest Tippy Golden Flowery Orange Pekoe) : thé FTGFOP de qualité exceptionnelle ;
  • SFTGFOP 1 (Special Finest Tippy Golden Flowery Orange Pekoe One) : idem, en mieux.

Feuilles brisées

Les feuilles ne sont plus entières et beaucoup plus petites que dans un Orange Pekoe. La boisson est plus corsée et plus foncée, et l'infusion plus courte. On trouve par ordre croissant de qualité les grades équivalents à ceux des thés à feuilles entières, avec la lettre « B » pour broken (brisée) :
  • BP Souchong : cueillette grossière de faible qualité ;
  • BP (Broken Pekoe) : feuilles plus basses (2-3e) ne contenant pas de bourgeons ;
  • BOP (Broken Orange Pekoe) ;
  • FBOP (Flowery BOP) ;
  • GBOP (Golden BOP) ;
  • GFBOP (Golden Flowery BOP) ;
  • TGBOP (Tippy Golden BOP) ;


Feuilles broyées
On trouve dans la région du Fujian, en Chine, des thés dont les feuilles sont broyées avant la fin de la fermentation. Il existe essentiellement deux grades de thés à feuilles broyées :
  • F (fannings) : petits morceaux de feuilles ;
  • D (dust, « poussière ») : feuilles complètement broyées, utilisées dans les sachets industriels.


Source : Wikipedia